Histoire qui pue
Pour pallier à notre éloignement (moi à Béroux – Eliott à Paname), ma belle-mère a eu une idée : on s’achète tous les deux un nounours…
On le garde près de nous pour qu’il s’imprègne de notre odeur :
et une fois venu le moment de repartir en train, on se les échange :
De cette manière, c’est comme si on amenait un peu de l’autre avec nous :
enfin cette technique a ses limites…
Malika Smith