En plus il te demanderais si tu peux photographier le coin puisque t’es là et des collègues se plaindraient que tu es à l’air libre et pas eux. Je sens que les boites ce ressemblent en ce moment >
Merci à vous ! @Personne : justement, c’est très tentant, mais je sais que si je sombre en paresseux, je resterai en paresseux ! Le piège !
@Mickwouai : Tout à fait ! Je vois que tu as très bien cerné le sujet !
Comme aujourd’hui Canalblog met ton espace à l’honneur, j’en profite pour le découvrir. Et je vais poursuivre car cette première approche me plait bien.
Idem, merci à Canalblog d’avoir mis ce blog à l’honneur, car c’est un régal pour les yeux. Bravo pour ce joli trait de crayon et cette façon de raconter « la vraie vie » de cette façon. Je continue ma visite.
Je tenais cette barre il y a encore quelques jours et puis ma direction m’a tapé sur les doigts pour que je lache. C’est flippant, c’est douloureux, mais ca permet au moins de se demander si on veut cela de nouveau ou pas…
Très chouette dessein je vais continuer mon petit tour, merci a canalblog !
VIVE le chômage: c’est l’éclate, tu fais tout ce que tu n’as pas le temps de faire d’habitude: stage de dada, grasses mat’, expo, promenades ds Paris. Si tu es motivée tu peux participer à tous les jeux à la con pour gagner du fric….Tu pourrais demander à ta prof d’être assistante pole dance (nettoyer les barres pour avoir des cours gratos), faire traverser les mémés aux passages piétons ou leur remonter leurs courses (avec un peu de chance, elles te donneront un gros pourboire genre 10euros car elles pensent toujours en anciens francs….), faire des dessins sur le sol devant Beaubourg avec un petit gobelet à côté…. tant de possibilités s’offrent à toi!!
J’ai tenu cette barre pendant 5 ans… et tout ça pour quoi ? Pour me rendre compte que le monde professionnel serait pareil et que je ne voulais absolument pas vivre l’angoisse toute ma vie, sans temps pour moi.
Donc, « tenir »… ça dépend. Moi j’aurai dû lâcher dès le début. C’est à toi de voir si l’avenir promet d’être différent ou si tu ne fais que t’enfoncer dans un marasme psychologique.
Et bin c’est pas rassurant tout ça… Besoin d’un peu de soutien moral?
bonne chance… histoire de te redonner le sourire, je te préconise la technique du parésseux matin midi et soir : https://www.youtube.com/watch?v=OwXi5Ddub6g
En plus il te demanderais si tu peux photographier le coin puisque t’es là et des collègues se plaindraient que tu es à l’air libre et pas eux. Je sens que les boites ce ressemblent en ce moment >
Merci à vous ! @Personne : justement, c’est très tentant, mais je sais que si je sombre en paresseux, je resterai en paresseux ! Le piège !
@Mickwouai : Tout à fait ! Je vois que tu as très bien cerné le sujet !
Comme aujourd’hui Canalblog met ton espace à l’honneur, j’en profite pour le découvrir. Et je vais poursuivre car cette première approche me plait bien.
Idem, merci à Canalblog d’avoir mis ce blog à l’honneur, car c’est un régal pour les yeux. Bravo pour ce joli trait de crayon et cette façon de raconter « la vraie vie » de cette façon. Je continue ma visite.
Je tenais cette barre il y a encore quelques jours et puis ma direction m’a tapé sur les doigts pour que je lache. C’est flippant, c’est douloureux, mais ca permet au moins de se demander si on veut cela de nouveau ou pas…
Très chouette dessein je vais continuer mon petit tour, merci a canalblog !
VIVE le chômage: c’est l’éclate, tu fais tout ce que tu n’as pas le temps de faire d’habitude: stage de dada, grasses mat’, expo, promenades ds Paris. Si tu es motivée tu peux participer à tous les jeux à la con pour gagner du fric….Tu pourrais demander à ta prof d’être assistante pole dance (nettoyer les barres pour avoir des cours gratos), faire traverser les mémés aux passages piétons ou leur remonter leurs courses (avec un peu de chance, elles te donneront un gros pourboire genre 10euros car elles pensent toujours en anciens francs….), faire des dessins sur le sol devant Beaubourg avec un petit gobelet à côté…. tant de possibilités s’offrent à toi!!
J’ai tenu cette barre pendant 5 ans… et tout ça pour quoi ? Pour me rendre compte que le monde professionnel serait pareil et que je ne voulais absolument pas vivre l’angoisse toute ma vie, sans temps pour moi.
Donc, « tenir »… ça dépend. Moi j’aurai dû lâcher dès le début. C’est à toi de voir si l’avenir promet d’être différent ou si tu ne fais que t’enfoncer dans un marasme psychologique.
tellement vrai!